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NOTRE-DAME DU VÉLO PAR JEAN HARLEZ.
La Galerie 100 Titres fête ses 25 ans
Les 3, 4 et 5 mai, de 14 à 21 h.
C’est 2, rue Cluysenaar, à 1060 Bruxelles.
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Le lien vers notre émission sur Radio Campus Lille à ce sujet : Lien
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3 jours de fêtes pour cette galerie-maison d’édition ouverte en 1988 sous le nom de La Papeterie, devenue 100 Titres en 2006.
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25 artistes autour des rapports Mots / Images – Humour / Dérision, plus quelques ponctuations d’univers différents.
Å’uvres de : Frédéric Arditi, Thomas Bacher, Tatiana Bohm, Roland Breucker, Jacques Brissot, Jan Bucquoy, Thomas Chable, Jérôme Giller, Jean Harlez, Jean-René Hissard, Jean Le Gac, Daniel Locus, Jacques Lennep, Frank Maieu, Marcel Mariën, Jean-Pierre Marquet, Raymond Minnen, Roberto Ollivero, Plonk & Replonk, Alexis Renaud, Angelo Ricciardi, Stéphane Schollaert, André Stas, Thierry Tillier, Fanny Viollet.
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Jean Harlez figure parmi la brochette d’artistes sélectionnés par Alain de Wasseige à cette occasion. Jean expose "Notre-Dame au coeur brûlant" et la figure centrale de la future "Notre-Dame du Vélo".
D’autres Notre Dames de Jean sur son site : Le lien
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Les dessins de Jean sont aussi dans le Batia. Le lien
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CYCLISME : LES CURÉS SUR LA LIGNE DE DÉPART.
Le lien vers l’article de Sud Ouest : Lien
Le lien vers notre émission sur Radio Campus Lille : Lien
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Fin avril, le championnat de France cycliste du clergé s’invitera en Charente. Trente-deux coureurs, séminaristes, religieux ou diacres prendront le départ.
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Une première en Charente. Les 30 avril et 1er mai, Montbron accueillera l’authentique championnat de France du clergé cycliste, quatorzième du nom. Au total, 32 coureurs, séminaristes, religieux ou diacres sont annoncés sur la ligne de départ.
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L’an dernier, le championnat s’était déroulé à Blagnac, près de Toulouse. L’équipe des cyclistes charentais s’est portée candidate pour reconduire la manifestation. « Par envie d’inviter les gars ici et pour le défi d’organiser un événement sur nos routes », dit simplement le père Benoît Lecomte, jeune curé des quartiers angoumoisins de Ma Campagne et de la Grande Garenne, arrivé en quinzième position au championnat 2012. Une organisation confiée à Angoulême vélo club, dont le président est René Bossis. « J’ai dit oui tout de suite. C’est quand même un championnat de France ! Et le courant est passé. On espère qu’il fera beau temps ! » Un cierge pourrait y contribuer.
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Le championnat se décline sous la forme d’un contre-la-montre de 11,7 kilomètres « très roulant », prévient René Bossis. Suivra le lendemain, une course en ligne de 57 kilomètres. « La côte des Brousses, sur la route de Piégut, va faire mal aux jambes », poursuit René Bossis. Gare à la descente : « Il faudra faire attention, ça roule très très vite, 60 km/h. » « On n’aura pas le temps de se reposer », opine le père Benoît Lecomte, sans rire.
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Les 32 coureurs inscrits seront logés chez l’habitant. « On tient à les remercier pour leur accueil », anticipe le père Guy Rougerie, prêtre à Fléac, lui aussi de la partie. « Il n’y a pas d’évêques qui participent à la course », mais Mgr Claude Dagens, évêque d’Angoulême, célébrera une messe le 30 avril.
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Le lendemain, ce sera au tour de Mgr Bernard Podvin, porte-parole des évêques de France, de présider l’eucharistie. Car, faut-il le rappeler, « l’enjeu de la rencontre est de vivre un moment de fraternité », résume le père Benoît Lecomte.
Ils seront cinq Charentais sur la ligne de départ. Aux côtés des prêtres Benoît Lecomte et Guy Rougerie figureront le père Olivier-Joseph Trouard-Riolle, chanoine de Montbron et curé du Sacré-CÅ“ur, à Victor-Hugo, le diacre Jacques Bonnet et Gérard Charrier, aumônier de la maison d’arrêt et fringant septuagénaire. Porteront-ils haut les couleurs charentaises ? À défaut de tenir la cadence d’une sortie hebdomadaire, le père Benoît Lecomte le promet, « on essaiera de faire bonne figure ». Et de se reprendre : « En tout cas, on aura plaisir à donner tout ce qu’on peut.      
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Contre-la-montre mardi 30 avril, 16 h 30, au départ de Rancogne. Course en ligne à 8 h 45, au départ de la chapelle des Lépreux, à Montbron. À 11 h 15, « messe des cyclistes » à l’église de Montbron.
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- Montbron ( Charente ) Le père Robert Leroy a remporté ce 1 er Mai 2013 matin le championnat du clergé cycliste, à Montbron, près d’Angoulême. (Article de Céline Levain dans Sud Ouest Le lien )
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Prêtre à Cléry-Saint-André, dans le Loiret, le père Robert Leroy a remporté ce matin le championnat du clergé cycliste, à Montbron, près d’Angoulême.
Agé de 61 ans, il devance le père Bertrand Lener, prêtre à Steenvoorde (59580), près de Lille, et Vincent Montagne, séminariste dans le diocèse de Valence. Les trombes d’eau tombées en début de matinée ont contraint les organisateurs à reporter d’une heure le départ de course.
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Trente-quatre religieux, dont trois soeurs, étaient sur la ligne de départ. Porte-parole des évêques de France, Mgr Poitevin a béni la course et présidé la messe célébrée en toute fin de matinée en l’église de Montbron.
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Vincent Solheid - CONFESSIONS PUBLIQUES - Exposition au Musée d’Ixelles
 jusqu’au 26 Mai 2013.
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Invité par Jean-Luc Moerman à l’exposition POP-UP en 2012, Vincent Solheid a remporté le prix du public. Artiste contemporain atypique, inclassable et protéiforme, Vincent Solheid est l’ingénieux créateur d’Å“uvres dessinées, peintes, sculptées, jouées ou filmées qui se révèlent en un jeu de miroirs vertigineux et où la question du sens à suivre, à contourner et à déchiffrer est omniprésente.
_ Venez découvrir les Å“uvres ingénieuses et interpellantes de ce jeune artiste.
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Une procession carnavalesque
L’article sur le site La Libre.be le lien
Son exposition est pratiquement de circonstance puisqu’elle met en scène l’histoire d’un moine festif, l’abbé Ewald Loïc Delhey, qui aurait, au milieu du XVIIIe siècle, eu la malencontreuse idée de réunir en une promenade de réconciliation les moines et les habitants séculairement ennemis des communes et abbayes de Stavelot et Malmedy. Le vin et l’effervescence récréative prirent rapidement le dessus sur le caractère religieux de l’entreprise, et notre protagoniste fut bientôt banni, exilé et ermite ! Cette histoire, dont on ne garantit pas l’exacte véracité, a laissé des traces de rivalité entre les deux entités, spécialement au moment du carnaval. D’autant plus qu’y est mêlé un char maudit aux allures de confessionnal ambulant qui aurait tenté quelques sorties dans la commune avant d’être incendié. L’artiste en aurait retrouvé quelques restes calcinés et l’aurait reconstruit en le chargeant de manière on ne peut plus kitsch d’une iconographie qui va du religieux à la photo de pin-up, de statuettes votives aux évocations d’excès quasi orgiaques - dont les festivités carnavalesques, notamment, étaient le théâtre.
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INTERVIEW


Invité par Jean-Luc Moerman à l’exposition POP-UP de 2012, vous avez remporté le prix du public et par là même une exposition solo en 2013. Pour quelle raison pensez-vous que les visiteurs ont voté pour vous ?
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L’œuvre que j’ai présentée dans POP UP, Les premiers seront les derniers, fait appel à des thèmes qui parlent à tout le monde ; des images populaires fortes, telles que le sport ou la religion. En plus, l’œuvre est composée de vélos et de figures miniatures qui rappellent inexorablement l’enfance de chacun.
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Pourquoi avoir choisi le titre Confessions publiques pour votre exposition solo ?

La confession de ses péchés à un prêtre est une démarche intime. En la rendant publique, j’ouvre de nouvelles portes, je dévoile un élément qui doit normalement rester de l’ordre du privé, du secret. Je profite de cette porte ouverte sur le mystère pour poser la question de l’existence d’un personnage historique, un religieux festif, quelque peu schizophrène, qui aurait été l’instigateur de l’unique carnaval de la principauté de Stavelot-Malmedy. La re-création de son antique char carnavalesque est d’ailleurs l’une des pièces maîtresses de l’exposition.


Que cherchez-vous à exprimer au travers de vos Å“uvres empruntes de mystique, de sacré ?
_ Je suis né dans une famille très chrétienne, dans un petit village au sein duquel l’église a une place centrale. À l’époque, j’étais enfant de choeur trois fois par semaine. Je suis né dans la foi chrétienne et c’est en moi depuis toujours.


Aujourd’hui, je dirais que je suis agnostique. Je me questionne sur ce point en me réappropriant cette matière et en jouant avec ses multiples éléments (Christ, Saints, Vierge, moines, etc.). Je m’amuse avec les différents niveaux d’importance en donnant un intérêt extrême à des éléments qui n’en ont pas vraiment et en n’en accordant que peu à des sujets dits sacrés et symboliques. Ce jeu, c’est ma façon d’atteindre ma liberté.